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L'émeraude du Nil
20 mars 2007

Fabuleuse découverte arc et o logique

Cocorico ! Oui, c'est un archéologue français, le professeur Lérudy qui a enfin mis à jour la tombe de Touthalégoû, pharaon de la 78° dynastie. La crypte, qu'on croyait à jamais perdue, était ensablée sous la chambre funéraire du grand Khadelarthrose IV, époux de Néféracheval.
Intacte et souriante sous ses diamants des mines Cédutok, la momie reposait au milieu d'une véritable caverne d'Ali Baba : 1 000 chars à voile et à vapeur encore remplis de chewing-gum à la grenade (destinés aux armées Perséplum), 7 000 coffres de pièces d'or à l'effigie de Khadelozeil XVI, perles rares de la mer Dekhankres, etc.
Touthalégoû (couronné sous le nom de Fékomunrâ Ier) naquit ver 43 759 avant ET à Mécédubhobar (basse Egypte). Il accéda au trône à l'âge de 17 jours à la mort de son père, Ramassê-Vozafair. C'est à Lyscépapillonpolis qu'il fit ses études sous l'érudit athénien Tamponjex-Néthoibien. Très tôt, le souverain dut affronter les Trucs (des nazis mineurs) et les tribus louches Myop et Astigmath qui avaient envahi (à l'aveuglette) la région de la 2e Cataracte du Nil. A l'apogée de sa carrière (il était aussi géologue), il fit construire la grande pyramide d'Alex Sans Drap en l'honneur du dieu Khêtounu. Mais sa mort subite reste cernée de mystères ! A-t-il vraiment succombé à une crise de foi ? A-t-il été empoisonné par le Grand Prêtre Flêchocurare qui préconisait le culte de la déesse Dizzneuf alors que le roi demeurait fidèle à Pan-Harlevassorth ? On a encore raconté qu'il avait été empalé par le cruel Nabbukeudhodevi, roi des Sakkavins, irrité par son adhésion à l'Eau Est Nue... Les siècles gardent le secret.
Touthalégoû, époux de Cléâmolet (née Apikédégofrêt) laissait un héritier mal, Gélarath-Kissdilath, fondateur de l'état Kritikh et dont la devise était "La Came Isole De Force".
Les fabuleux trésors du Touthalégoû seront exposés à partir du 1er Avril au Grand Pas Laid, rue Philippe le Bel.

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